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Sagot :
L'adolescence cette étape obligatoire pour tout enfant qui grandit. Etape plus ou moins longue pour le jeune comme pour les parents. A peine passé le seuil de ce moment de la vie que les parents ont mille choses à nous dire et je ne vous parle pas des conseils
que nous n'arrivons même pas à en saisir le sens. Tout ce qui nous était permis, devient danger. Cela bien-sur est la conception inévitable du parent qui a oublié qu'il a été jeune aussi et qui pour nous protéger invente des pièges que pourrait nous tendre la vie.
Ma mère par exemple, qui au demeurant trouvait émouvant, que lorsque j'étais à la maternelle, j'avais un amoureux je la vois ça et là m'espionner pour savoir si je n'ai pas un copain caché dans un tiroir de mon coeur et dont je ne lui parle pas.
L'amour seul ce mot devient tabou, non par pudeur mais la crainte de mauvaises fréquentation ou par peur de perdre son "bébé".
Au fond de moi, même si j'ai peur de la décevoir, et surtout de la mettre en colère, je sais qu'il ne sera possible ni à elle ni à moi de raisonner ma tête si le sentiment d'aimer venait à m'effleurer.
Alors, je serais comme certaines de mes amies à cacher les premiers les sursauts de sentiments d'amour naissant. Je ferai celle qui ignore de quoi on veut parler en famille lorsque je sentirais que la question se pose. Et je me priverai comme bon nombre d'amies de vivre au grand jour des amitiés tendres, et je cacherai mes premiers baisers que j'aurais échangé dans le plus grand des secrets.
que nous n'arrivons même pas à en saisir le sens. Tout ce qui nous était permis, devient danger. Cela bien-sur est la conception inévitable du parent qui a oublié qu'il a été jeune aussi et qui pour nous protéger invente des pièges que pourrait nous tendre la vie.
Ma mère par exemple, qui au demeurant trouvait émouvant, que lorsque j'étais à la maternelle, j'avais un amoureux je la vois ça et là m'espionner pour savoir si je n'ai pas un copain caché dans un tiroir de mon coeur et dont je ne lui parle pas.
L'amour seul ce mot devient tabou, non par pudeur mais la crainte de mauvaises fréquentation ou par peur de perdre son "bébé".
Au fond de moi, même si j'ai peur de la décevoir, et surtout de la mettre en colère, je sais qu'il ne sera possible ni à elle ni à moi de raisonner ma tête si le sentiment d'aimer venait à m'effleurer.
Alors, je serais comme certaines de mes amies à cacher les premiers les sursauts de sentiments d'amour naissant. Je ferai celle qui ignore de quoi on veut parler en famille lorsque je sentirais que la question se pose. Et je me priverai comme bon nombre d'amies de vivre au grand jour des amitiés tendres, et je cacherai mes premiers baisers que j'aurais échangé dans le plus grand des secrets.
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