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Sagot :
Voila j'ai corriger tes faute d’orthographe :)
Le narrateur est en présence de son ami, Auguste Dupin, un homme
attentif et perspicace qui est une source de mystère. Il rappelle
le moment où il pensait que Dupin pouvait lire dans les pensées,
et demande à son ami de lui révéler son secret, mais lors de
leur conversation les deux hommes sont interrompus par une annonce
tragique, il s’agit du double assassinat qui a eu lieu dans la Rue
Morgue. La mère et sa fille Camille l’Espanaye ont était
massacrées ce matin-là, aux alentours de trois heures du matin.
Lors de l'analyse de leur corps, révéla qu’elles furent torturé
avant leur mort, mais les investigateurs n’avaient aucune piste du
suspects qui avait commis le crime. Plus il voit cette annonce,
plus l’esprit de Dupin est curieux par ce drame et plus il a en
vie rechercher plus de détails. Avec tout les dépositions des
témoins, c’est vers une seule personne que tout les suspicions de
pose, la personne suspectée en question est Lebon, employé de
banque qui s’occupait des finances de Mme l’Espanaye. Cependant
la police ne détient pas de preuve pour le mètre derrière les
barreau, mais il se fait quand même incarcérer. Dupin décide de
faire sa petite enquête, car pour lui il serait plus d’étudier
avant de juger.
Dupin
réussit à s'introduire dans la scène de crime où il se rend
avec le narrateur. Il inspecte la scène du crime. Le lendemain,
Dupin justifie son raisonnement au narrateur , l’incite à en
arriver aux mêmes conclusions que lui, quant à l'identité du
coupable de ces crimes horribles : le manque de motif et l’horreur
de l’acte, la férocité du coupable et enfin la voix indistincte
du coupable portent à croire que ces atrocités auraient été
commises par une bête : un orang-outan en furie, qui aurait échappé
à son maître. Toujours avec ruse, Dupin décide d’attirer le
maître de cet animal en furie pour lui faire confesser toute la
vérité. Et enfin, son plan réussit : le maitre de l’animal, un
marin, raconte à Dupin toute l’histoire, en commençant par
l’élément incitateur qui fit s'échapper son orang-outan. Et
Lebon, exonéré de toute implication dans ces meurtres, se fait
relâcher par la justice
Le narrateur est en présence de son ami, Auguste Dupin, un homme
attentif et perspicace qui est une source de mystère. Il rappelle
le moment où il pensait que Dupin pouvait lire dans les pensées,
et demande à son ami de lui révéler son secret, mais lors de
leur conversation les deux hommes sont interrompus par une annonce
tragique, il s’agit du double assassinat qui a eu lieu dans la Rue
Morgue. La mère et sa fille Camille l’Espanaye ont était
massacrées ce matin-là, aux alentours de trois heures du matin.
Lors de l'analyse de leur corps, révéla qu’elles furent torturé
avant leur mort, mais les investigateurs n’avaient aucune piste du
suspects qui avait commis le crime. Plus il voit cette annonce,
plus l’esprit de Dupin est curieux par ce drame et plus il a en
vie rechercher plus de détails. Avec tout les dépositions des
témoins, c’est vers une seule personne que tout les suspicions de
pose, la personne suspectée en question est Lebon, employé de
banque qui s’occupait des finances de Mme l’Espanaye. Cependant
la police ne détient pas de preuve pour le mètre derrière les
barreau, mais il se fait quand même incarcérer. Dupin décide de
faire sa petite enquête, car pour lui il serait plus d’étudier
avant de juger.
Dupin
réussit à s'introduire dans la scène de crime où il se rend
avec le narrateur. Il inspecte la scène du crime. Le lendemain,
Dupin justifie son raisonnement au narrateur , l’incite à en
arriver aux mêmes conclusions que lui, quant à l'identité du
coupable de ces crimes horribles : le manque de motif et l’horreur
de l’acte, la férocité du coupable et enfin la voix indistincte
du coupable portent à croire que ces atrocités auraient été
commises par une bête : un orang-outan en furie, qui aurait échappé
à son maître. Toujours avec ruse, Dupin décide d’attirer le
maître de cet animal en furie pour lui faire confesser toute la
vérité. Et enfin, son plan réussit : le maitre de l’animal, un
marin, raconte à Dupin toute l’histoire, en commençant par
l’élément incitateur qui fit s'échapper son orang-outan. Et
Lebon, exonéré de toute implication dans ces meurtres, se fait
relâcher par la justice
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