Réponse :
Si tu veux je peux au moins te donner une bonne description de monstre que j'ai faite il y a 2 semaines :
Explications :
Description physique de notre monstre
Cela ressemblait à une gigantesque ombre fantomatique est désarticulée. Plus la chose se rapprochait de moi plus ses membres se distinguaient de sa fumée. J'observais avec terreur cette silhouette aux apparences humaines mais qui s'en éloignait davantage : ses bras et ses jambes, maigres et longs, restaient crispés tels des pattes d'araignée autour de leur hôte. Son long visage affichait un large sourire de souffrance, orné de très nombreuses dents longues et pointures qui rentraient dans la chair de sa fine lèvre, et ce sang coulait le long de son menton jusqu'à tomber sur le sol. Ses yeux brillaient dans la nuit, comme ceux des félins qui traquent une proie. Ceux-ci étaient disproportionnés et occupaient le quart du visage de la créature. Quelques cheveux gras, éparpillés, tombaient sur son front, réduit par la taille des yeux. Son cou semblait entaillé à plusieurs reprises laissant ainsi d'horribles morceaux de ce dernier pendre vers le bas et vaciller à chacun de ses pas. La créature ne portait pas de haut et l'on pouvait observer un torse décharné, presque maladif et les côtes semblaient tirer cette fine peau pour sortir de ce corps. Et au milieu de cet affreux spectacle, un grand trou béant au milieu de ses entrailles nous permettait d'entrevoir la cage thoracique qui enveloppait les poumons de ce monstre. Je fixais cette fosse et je remarquais avec stupeur que son cœur ne battait pas et que ses poumons ne se gonflaient pas. Plus bas, une énorme cicatrice tranchait le bas de son ventre et celle-ci était fermée par d'énormes agrafes plantées en lui. Son seul vêtement était en vieux morceau de rideau moisi et troué, terni par le temps et l'humidité. La chose se tenait courbée sur ses jambes aux genoux noueux et pointus. Ses mollets, recouverts de bleus et de coupures, conduisaient vers une vision repoussante : Ses chevilles étaient mises à nues, leur peau avait été violemment arrachée et laissait ainsi la chair pourrir et les tendons s'oxyder. Enfin, l'on pouvait distinguer que ses orteils étaient eux aussi noircis et que les ongles avaient été retirés.
