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Sagot :
Bonjour,
Les dix années qui s’écoulent sont traduites en images par différents moyens :
- les aller-retours de Mathilde (idée de cycle).
- la dégradation des vêtements : de colorés et gais au départ, ils pâlissent, deviennent ternes, puis quelques trous apparaissent et enfin, ils ressemblent à des loques.
- la coiffure de Mathilde change également : de bouclés, dorés et soignés au départ, ils deviennent lisses et ternes, en bataille et parsemés de cheveux blancs (vieillissement accéléré)
- la musique au départ gaie, enjouée et dansante, se transforme également : le rythme ralentit de plus en plus, les instruments sont plus assourdis et donnent une impression de poids, de lourdeur.
- enfin, comble de la dégradation, Mathilde marche voûtée, les yeux perdus dans le vague, et très lentement, comme une petite vieille ; d’ailleurs tout le monde la dépasse dans la rue. Et elle est si misérable qu’elle ramasse des légumes pourris, jetés par terre, ce qui dégoûte même le clochard qui est écœuré.
Voilà, bonne soirée !
Les dix années qui s’écoulent sont traduites en images par différents moyens :
- les aller-retours de Mathilde (idée de cycle).
- la dégradation des vêtements : de colorés et gais au départ, ils pâlissent, deviennent ternes, puis quelques trous apparaissent et enfin, ils ressemblent à des loques.
- la coiffure de Mathilde change également : de bouclés, dorés et soignés au départ, ils deviennent lisses et ternes, en bataille et parsemés de cheveux blancs (vieillissement accéléré)
- la musique au départ gaie, enjouée et dansante, se transforme également : le rythme ralentit de plus en plus, les instruments sont plus assourdis et donnent une impression de poids, de lourdeur.
- enfin, comble de la dégradation, Mathilde marche voûtée, les yeux perdus dans le vague, et très lentement, comme une petite vieille ; d’ailleurs tout le monde la dépasse dans la rue. Et elle est si misérable qu’elle ramasse des légumes pourris, jetés par terre, ce qui dégoûte même le clochard qui est écœuré.
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