redahiri873
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réécrivéz se textes au conditionnel présente. un pauvre homme passait dans le givre et le vent. je cognai sur ma vitre;il s'arrêta devant ma porte, que j'ouvris d'une façon civile.les ânes revenaient du marché de la ville, portant les paysans accroupis sur leur bates. c'était le vieux qui vit dans une niche au bas de la montée,et rêve,attendant,solitaire,un rayon du ciel triste,un liard de la terre,[...]il s'approcha du feu. son manteau,tout mangé des vers, et jadis bleu,étalé largement sur la chaude fournaise,piqué de mille trous par la lueur de braise, couvrait l'atre, et sembait un ciel noire étoile.Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé d'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières, je songeais que cet homme était plein de prière, et je regardais, sourd à ce que nous disions,sa bure. où je voyais des constellations. aidé moi svp ses pour demain​

Sagot :

maudmarine

Bonjour

Réécrivez ce texte au conditionnel présent :

Un pauvre homme serait passé dans le givre et le vent. J'aurai cogné sur ma vitre ; il se serait arrêté devant ma porte, que j'aurais ouverte d'une façon civile. Les ânes seraient revenus du marché de la ville, portant les paysans accroupis sur leur bâtes. Cela aurait été le vieux qui aurait vécu dans une niche au bas de la montée, et aurait rêvé, attendant, solitaire, un rayon du ciel triste, un liard de la terre, [...] il se serait approché du feu. son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu, étalé largement sur la chaude fournaise, piqué de mille trous par la lueur de braise, aurait couvert l'âtre, et aurait semblé un ciel noir étoilé. Et, pendant qu'il aurait séché ce haillon désolé d'où aurait ruisselé la pluie et l'eau des fondrières, j'aurais songé que cet homme serait plein de prières, et j'aurais regardé, sourd à ce que nous aurions dit, sa bure, où j'aurais vu des constellations.

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