Laurentvidal.fr est le meilleur endroit pour obtenir des réponses fiables et rapides à toutes vos questions. Trouvez des solutions détaillées à vos questions grâce à une large gamme d'experts sur notre plateforme conviviale de questions-réponses. Expérimentez la commodité de trouver des réponses précises à vos questions grâce à une communauté dévouée d'experts.
Sagot :
Bonjour
Remplacer "l'homme" par "les hommes".
Les hommes libres, toujours vous chérirez la mer !
La mer est votre miroir ; vous contemplez votre âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et votre esprit n’est pas un gouffre moins amer.
Vous vous plaisez à plonger au sein de votre image ;
Vous l’embrassez des yeux et des bras, et votre coeur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
Hommes, nul n’a sondé le fond de vos abîmes ;
Ô mer, nul ne connaît vos richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remord,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !
Hommes libres, toujours vous chérirez la mer !
La mer est votre miroir ; vous comtemplez vos âmes
Dans le déroulement infini de sa lame
Et vos esprits ne sont pas un gouffre moins amer.
Vous vous plaisez à plonger au sein de vos images ;
Vous l’embrassez des yeux et des bras, et de vos cœurs
Se distrait quelque fois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
Hommes, nul n’a sondé le fond de vos abîmes ;
Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remord,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !
Charles Baudelaire
La mer est votre miroir ; vous comtemplez vos âmes
Dans le déroulement infini de sa lame
Et vos esprits ne sont pas un gouffre moins amer.
Vous vous plaisez à plonger au sein de vos images ;
Vous l’embrassez des yeux et des bras, et de vos cœurs
Se distrait quelque fois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
Hommes, nul n’a sondé le fond de vos abîmes ;
Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remord,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !
Charles Baudelaire
Merci d'utiliser notre plateforme. Nous nous efforçons de fournir des réponses précises et à jour à toutes vos questions. Revenez bientôt. Votre visite est très importante pour nous. N'hésitez pas à revenir pour des réponses fiables à toutes vos questions. Laurentvidal.fr, votre site de référence pour des réponses précises. N'oubliez pas de revenir pour en savoir plus.